Rolex Cellini: le luxe en majesté
On dit de certaines maisons qu’elles arbitrent le marché. Assurément Rolex, donne le ton avec cette nouvelle génération de montres Cellini.
En observant ces nouvelles Cellini, on devine au premier regard, par l’équilibre de leur dessin, leurs mensurations et leur fonctionnalité résumée à l’essentiel, ce que désirent les utilisateurs. Toutes sont résolument dédiées aux citadins du monde car, toutes uniques dans leur dimension de garde-temps essentiel, elles ont à travers leurs fonctionnalités utiles, quelque chose d’individuellement universel.
Cela leur vient d’un dessin dont l’essence s’inscrit dans le respect du nombre d’or et des principes de la Divine Proportion. On dit que le beau peut s’expliquer par les mathématiques. Il est incontestable qu’ici, elles se décryptent comme les valeurs de l’équilibre faites de lignes sobres et raffinées, magnifiées par des matières nobles et des finitions soignées. Pour cette collection, le hasard n’a pas de part.
La nouvelle collection Cellini, déclinée en douze modèles répartis en trois versions distinctes, démontre combien l’application de recettes éprouvées et d’un savoir-faire longuement maturé peut donner des résultats grandioses. Et l’amateur devine dans le dessin de ces montres de 39 mm de diamètre proposées en or Everose ou en or gris 18 carats, le souhait de la manufacture de revenir aux sources de son histoire pour, comme une pierre angulaire structure une construction, offrir à l’horlogerie contemporaine d’écrire son futur en s’enrichissant du meilleur de son passé.
Cellini Time
Sans doute la plus simple de toutes, la Cellini Time, accroche le regard avec force car cette pièce dont l’œil averti perçoit sans les expliciter tous les détails qui font sa présence exquise, se justifie dans l’esprit de tous comme l’essence même de la montre. Elle l’est, car elle est faite de ces lignes essentielles dont les enfants s’emparent quand on leur demande d’en dessiner une. Et sa pertinence est également de savoir distiller à qui sait lire entre les lignes, des bribes de l’histoire de la marque fondée en 1908 par Hans Wilsdorf.
Ainsi, certains détails de conception, comme les fines cannelures de la lunette que l’on retrouve sur le fond plein vissé et subtilement bombé, renvoient aux modèles que les fans appellent affectueusement les «bubble back», des Oyster du passé très recherchées dont les dessins en font, aujourd’hui encore des modèles de garde-temps urbains dont les qualités de robustesse et de fiabilité les positionnent comme des références à leur aise en toute situation.
Magnifique d’évidence parce qu’elle dynamise les lignes de la boîte, la fine lunette donne sa vraie dimension au cadran. Ce dernier, proposé en version laquée pour le modèle Time ou guilloché «Rayon de la Gloire» pour les modèles Date et Dual Time, se révèle au mieux de sa taille grâce à un dessin rationnel et équilibré offrant à l’œil d’y lire l’heure de façon intuitive. Mais Rolex a su également traduire avec ses trois nouvelles références, les besoins des amateurs. Les puristes, citadins dans l’âme, regarderont la Cellini Time comme l’incarnation de l’essentiel horloger condensé en un seul garde-temps. Symbole d’un art de vivre où la simplicité est l’expression même du luxe, cette montre affichant l’heure avec précision de la pointe de ses trois aiguilles (heure, minutes, seconde au centre) défie les modes et les époques en étant assurée d’être de toutes, en tout temps.
Mue par un calibre mécanique à remontage automatique de manufacture certifié chronomètre par le COSC (Contrôle officiel suisse des chronomètres), malheureusement invisible sous son fond légèrement bombé, cette merveille se porte au poignet, sur un somptueux bracelet en alligator brillant fermé par une traditionnelle boucle ardillon ; un détail qui, loin d’en être un, assure à cette création de révéler, par son équilibre, l’homme de goût qu’est le propriétaire de cette pièce.
Cellini Date
Pour les fanatiques des montres dotées de quantième –et il en existe- Rolex propose également la Cellini Date. Dans cette construction faite d’élégance renouvelée au jour le jour, celle-ci n’apparaît pas en guichet, comme l’a inventé la marque en 1945, mais dans un compteur dessiné à 3 heures. Ce choix atypique à une époque où l’essentiel des montres arbore la date dans un guichet découpé, donne un peu de piquant à cette référence qui l’on devine alors moins convenue. Disponible en cadran argenté guilloché « Rayon de la Gloire » ou en version noire guillochée, cette montre vit au gré du précis battement de son cœur doté de 31 rubis ; un calibre mécanique à remontage automatique de manufacture certifié chronomètre par le COSC vibrant à 28 800 alternances par heure.
Comme la version précédente, cette-ci est disponible en or gris ou en Everose 18 carats dans les deux coloris de cadran avec index et couronne Rolex à 12 heures. Les deux pièces se portent traditionnellement sur bracelet en alligator brillant fermé au poignet grâce à une boucle ardillon.
Cellini Dual Time
De toute évidence, la Cellini Dual Time s’adresse aux grands voyageurs en quête de la montre idéale pour les accompagner dans leur périple à travers le monde. Lisible avec sa fine double lunette, son cadran noir ou argenté guilloché faisant la part belle à de fins et longs index, cette merveille d’équilibre mue par un calibre mécanique à remontage automatique de manufacture certifié chronomètre par le COSC et enfermé dans un boîtier en or gris ou Everose 18 carats finement poli, joue la carte de l’universalité. En effet, une fois dévissée sa couronne de remontoir jouant les diabolos grâce à sa forme légèrement évasée, il est possible de régler indépendamment l’une de l’autre les deux heures présentes au cadran.
La première, lisible aux aiguilles principales, sera de toute évidence celle à privilégier pour savoir l’heure du lieu dans lequel son porteur se trouve et la seconde -celle du «home time»- sera à lire dans le compteur également doté d’un sobre guichet donnant l’indication jour - nuit et qui, placé à 6 heures, a pour objet d’équilibrer le dessin du cadran guilloché «Rayon de la Gloire» rehaussé d’index appliqués en or massif. Etanche à 50 mètres, cette pièce comme toute les autres, a été pensée pour répondre aux besoins des citadins vivants ou se déplaçant sous toutes les latitudes, des plus sèches aux plus humides. Cette pure merveille, idéale pour parachever la tenue d’un amateur de costumes à ses mesures, se passe au poignet sur un bracelet en alligator, fermé, comme les autres versions à l’aide d’une classique boucle ardillon. La seule acceptable pour ce type d’instrument destiné à se faire oublier au poignet, mais conçu pour se faire remarquer par ceux qui savent, en raison de son équilibre et de ses qualités à la fois esthétiques et mécaniques…