Stardance, la collision stellaire des sentiments
Stardance, la collision stellaire des sentiments
Comment créer un garde-temps de forme ronde, à deux aiguilles et phase de Lune, aussi unique que celle à qui on le destine ?
Des ces variations horlogères, il en existe déjà des millions. Aussi, lorsque Louis Moinet a dessiné la Stardance, l’objectif était d’atteindre le beau, le vrai, l’authentique, mais aussi l’unique et le poétique. Vastes objectifs qui, au final, devaient se résumer en seulement 36 mm.
La Stardance est unique par essence : sa Lune est composée d’un authentique fragment de la météorite Enstatite EH3. Sa brillance n’est pas un hasard : elle est composée de nano-diamants issus de collisions stellaires datant probablement d’avant la formation de notre système solaire. La Stardance remonte ainsi, au sens propre, à la nuit des temps.
Ce disque lunaire est abrité derrière un guichet en aventurine, délicatement ciselé en forme de nuage. Cette ouverture à midi est équilibrée à 6h par un disque des secondes en forme de soleil, lequel vient illuminer un cadran guilloché de Côtes de Jura – elles aussi uniques, propres à Louis Moinet. Leur éclat vient alors se lover au creux d’une lunette sertie de diamants que vient terminer une boîte elle aussi sertie.
Il n’y aura que 365 pièces de la Stardance, comme autant de jour d’une année passée à aimer son prochain.