Grand Prix d'Horlogerie de Genève, édition 2013
Jusqu'au 25 juin, date limite du dépôt de candidatures, les inscriptions au Grand Prix d'Horlogerie de Genève 2013 sont ouvertes. Photos printées ou numériques (300dpi), descriptifs textuels en français et en anglais ainsi que logo de la marque sont attendus, pour chaque modèle selon la catégorie dans laquelle il est appelé à concourir, occasionnant CHF 500.00 de frais d'inscription. Les catégories figurent dans le règlement.
Par Joel Grandjean
Rédacteur en Chef
70 montres en compétition
Seules les montres commercialisées après mars 2012 sont acceptées, à l'exception de celles qui s'adressent au Prix de la Grande Complication dont la commercialisation est tolérée entre mars 2011 et novembre 2013. Rendez-vous le 15 juillet 2013, pour une mise en ligne sur le site officiel du GPHG des montres en compétition!
Les 70 pièces qui, à l'issue d'un premier tour, auront été sélectionnées par le jury, seront appelées à participer à une exposition itinérante, moyennant une participation de CHF 5'000.00 chacune aux frais d'organisation, de transport et d'assurance.
Jurés internationaux
Présidé par Aurel Bacs, directeur international du département montres de Christie’s Suisse, le Jury est composé de 8 représentants des médias, dont les journalistes confirmés Elizabeth Doerr, Jean-Philippe Arm ou Carlos Alonso du Mexique, 2 artistes collectionneurs, 1 architecte, 1 créateur de renom, Philippe Starck, 2 historiens et peut-être même un 3ème si l'on compte l'éditeur de livres horlogers Antoine Simonin, 1 expert en horlogerie, ainsi que 1 des collectionneurs les plus courtisés, Claude Sfeir. Ah oui, également de Moritz Elsaesser.... 1 horloger rhabilleur. Ouf, au moins un! A la différence d'autres prix, comme par exemple le Prix "Montre de l'Année" du magazine de Ringier "Montres Passion" qui effectue ses choix sans que les marques soient consentantes, au GPHG, seules les montres candidates peuvent participer. Une précision importante à relever puisque durant la soirée, largement parrainée par les autorités locales, le public, pas toujours averti, pourrait s'interroger sur l'absence de quelques grandes enseignes genevoises.
