C’est sous un chapiteau très fréquenté accueillant une exposition historique retraçant les grandes heures de Ducati en compétition que TUDOR a trouvé le cadre idéal pour présenter sa collection Heritage ainsi que ses derniers chronographes de sport Grantour et Fastrider. Ce sont en effet ces deux dernières collections que la marque associe davantage à l’univers Ducati ; Grantour étant liée à la puissante 1199 Panigale  tandis que Fastrider propose des modèles en lien avec la Monster. Arborant un cadran rouge et noir – à la fois les couleurs de TUDOR et de Ducati – l’un des chronographes Fastrider célèbre plus particulièrement le partenariat entamé en juin 2011. Pour les passionnés de mécaniques, la World Ducati Week 2012 fut aussi l’occasion, au-delà des vrombissements uniques propres aux moteurs du constructeur italien, de constater que TUDOR et Ducati partagent de nombreuses convergences. Si les deux sociétés ont été fondées en 1926, c’est en 1946 que Ducati lance la production de son premier moteur, l’année même où TUDOR devient une société anonyme, prélude au lancement à succès du modèle TUDOR Oyster. Plus proche de nous, tandis que TUDOR négocie en 2007 le virage qui amènera à la marque sa visibilité actuelle, Ducati remporte la même année son premier championnat du monde de Moto GP.

Ces concordances entre les deux maisons ne donnent que plus de force à la légitimité du partenariat associant l’un des grands noms de l’industrie horlogère helvétique et l’une des icônes de la mécanique italienne. Une convergence de vue qui est notamment apparue clairement à Paul Smart, légendaire pilote Ducati des années 70 qui, pour rien au monde, ne manquerait le rassemblement de Misano. En ami de la marque horlogère, Paul Smart s’est entretenu avec la passion qu’on lui connaît avec les invités de TUDOR, détaillants et journalistes qui, pour beaucoup, ont découvert avec intérêt les anecdotes du pilote britannique et les arcanes de la moto de compétition de l’époque lorsque ce sport en était encore à des confrontations d’amateurs enthousiastes. Celui qui remporta notamment la première édition des 200 Miles d’Imola en 1972 s’est également vu remettre un chronographe mécanique TUDOR Heritage Chrono.

Autres temps fort de la manifestation, la « Ducati University » a été l’occasion de nombreux exposés, dont celui traitant du management du team Ducati Corse qui participe au championnat du monde de Moto GP avec ses deux pilotes vedettes Valentino Rossi et Nick Hayden. Autre « Ducatiste » ayant eu les honneurs du podium, l’Indien Sundeep Gajjar qui venait de terminer son périple de 9750 km en 25 jours entre Dubaï et Misano au guidon de sa Ducati Multistrada et avec un chronographe TUDOR Fastrider au poignet. Le périple et les clichés du « motographe » Sundeep Gajjar sont à découvrir dans la section « Passion Motorsport » du site www.tudorwatch.com .

Point d’orgue de cette World Ducati Week 2012 qui a vu se succéder une multitude de démonstrations, acrobaties, parades et concerts de rock dans une ambiance festive et conviviale, la Diavel Drag Race by TUDOR a vu s’affronter huit pilotes de renom dans une compétition qui a donné aux milliers de spectateurs serrés dans les tribunes du Misano World Circuit quelques puissantes décharges d’adrénaline. Dans ce concours d’accélération sur 500 mètres, le pilote italien Valentino Rossi, légende vivante s’il en est, et vénéré plus que tout autre dans ce temple de Ducati, a été battu de 0,023 seconde par l’Australien Troy Bayliss,  icône pour tous les « Ducatises » et triple champion du monde de Superbike, lequel a gagné le chronographe mécanique TUDOR Fastrider offert au vainqueur. Les 3^ème et 4^ème places ont été remportées par l’Américain Nicky Hayden (autre pilote Ducati en Moto GP) devant l’Espagnol Carlos Checa, champion du monde de Superbike 2011.

Au terme de ces quatre jours de passion mécanique rouge et noire, TUDOR s’affirme plus que jamais comme une marque horlogère sportive de référence. Par leur style racé et la puissance de leur design, les montres TUDOR ont, entre décibels et plaisirs de yeux, conquis un public jeune et enthousiaste en démontrant leur proximité avec les Multistrada, Monster et autres Diavel qui peuplent l’univers Ducati. La marque genevoise a trouvé dans la ferveur du chaudron de Misano des aficionados à la mesure de son tempérament.