Ambulancier de formation, Raphaël compte de nombreuses cordes à son arc. Spéléologue, alpiniste, sauveteur, après avoir débuté dans la vie professionnelle comme réparateur de vélomoteurs, il a vécu de nombreuses expériences et acquis de solides compétences en termes de gestion du risque. Un élément indispensable dans le cadre des aventures engagées qu’il affectionne. Jérôme De Witt aime dire de lui qu’il est un empereur des temps modernes. « C’est un homme qui se bat, non pas pour le pouvoir mais pour faire passer un message fort, qui contribue au développement harmonieux de la société dans laquelle nous voulons vivre! » 

Premier homme à faire le tour du monde à bord d’un bateau propulsé exclusivement à l’énergie solaire, à 45 ans, Raphaël a en effet choisi de faire passer des messages lors de chacune de ses aventures. En mai 2010, il embarque, à Monaco, sur un catamaran équipé de plus de 38 000 cellules photovoltaïques. Il naviguera pendant 585 jours à travers le globe, parcourant plus de 60 000 kilomètres. Une aventure comme Raphaël les aime constituée d’exploration et d’engagement, doté d’une symbolique forte. Car si l’homme s’engage pour la protection de la planète, il l’est également dans différents projets humanitaires. 

« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui le regardent sans rien faire. » - Albert Einstein 

Partenaire officiel de DeWitt, Raphaël Domjan est fier de représenter cette « marque prestigieuse et hors du commun, à l’image de mes aventures. DeWitt réalise de superbes choses; ils produisent des montres mécaniques, sans piles, qui fonctionnent donc à l’énergie propre », raconte l’aventurier. 

Partenaire de sa fondation « SolarPlanet », DeWitt est également engagé dans le prochain projet de Raphaël, qui consiste à franchir le passage qui relie l’océan Atlantique à l’océan Pacifique à bord d’un kayak doté - hormis la force des bras de Raphaël - d’une propulsion engendrée par l’énergie solaire. Avec un message fort en faveur de l’environnement à la clé! 

Accompagné de la navigatrice Anne Quéméré, il pagayera dans des conditions climatiques très difficiles, avec pour objectif de sensibiliser l’homme aux changements climatiques. En effet, à cause de la fonte des glaces, ce mythique passage est, depuis peu - et pas nécessairement toutes les années - ouvert au trafic maritime international, ce qui ne fait qu’accroître la déprédation de cette région fragile. Le projet « Arctic Passage » débutera le 15 juin 2015.