Baselworld 2014: Dream Watch 5.2

Baselworld 2014: Dream Watch 5.2

Avec la Dream Watch 5.2, De Bethune crée une oeuvre fascinante qu’elle installe comme un repère à la frontière entre le monde de l’art et celui de l’horlogerie.

Explorer le passé pour mieux le réinterpréter, en connaître l’héritage, en repousser les limites et finalement inventer l'avenir. Maîtriser les codes jusqu’à s’en libérer complètement pour transformer le savoir-faire en émotion et la technique en beauté pure. Pour David Zanetta et Denis Flageollet, la démarche vaut pour l’art comme pour l’horlogerie. La Dream Watch 5.2 appartient donc à ces deux mondes ; elle parle d’espace, de mouvement et de vitesse autant que de précision ou de complications.

En la créant, David Zanetta et Denis Flageollet se sont affranchis des échelles et des proportions. Ils ont imaginé une sculpture à la taille d’un poignet et ramené le temps à celle d’une pierre précieuse, qu’ils ont sertie sur le dos bombé de leur garde-temps. La Dream Watch 5.2 témoigne de la vision que partagent les deux hommes, de leur créativité débridée, fondée sur la compréhension et le respect des grands maîtres horlogers du passé qu’ils transcendent et subliment.

Grâce à eux, les montres De Bethune dessinent ainsi un parcours d’une absolue cohérence, incarnant l’horlogerie du XXIème siècle sous sa forme la plus intemporelle et dont la collection des Dream Watch est l’expression extrême et aboutie.

Le design inédit de la Dream Watch 5.2 doit beaucoup à ses prédécesseurs dont elle revisite et épure les codes. On devine dans ses lignes le pont si caractéristique de la Dream Watch 1, ce motif deltoïde bombé, marque esthétique de la Manufacture de L’Auberson. On y retrouve aussi la boîte de la Dream Watch 4, qui transparaît dans cette tension entre relief profilé et douceur des courbes.

 
La Dream Watch 5.2 est le fruit d’un travail de recherche constant sur les formes, les couleurs, la matière. Elle s’habille aujourd’hui de zirconium noirci, résistant et léger dont l’oxydation noire est aussi indifférente à l’air et à l’eau que ce garde-temps au temps qui passe. Car cette montre est une oeuvre avant tout.

L’extrême miniaturisation de sa mécanique est mise toute entière au service du design, dont le temps n’est plus qu’un élément. Interprétation typique de De Bethune, comme un clin d’oeil ou une signature, une petite sphère bicolore indique les phases de lune. Composée de deux demi-sphères d'acier bleui et de palladium assemblées et polies, elle guide l’oeil vers l’affichage digital et minimaliste des heures et des minutes. Puis un peu au-delà, jusqu’à ce saphir cabochon qui épouse la couronne.