Christophe Claret dévoile la montre LOMA

Communiqué de presse

Christophe Claret dévoile la montre LOMA

Suite à sa nouvelle collaboration avec le boxeur ukrainien Vasyl Lomachenko, - qui a conquis un titre en championnat d’Europe, deux médailles d’or olympiques et trois titres mondiaux - Christophe Claret dévoile la montre Loma, un chronographe mono-poussoir à sonnerie sur timbre cathédrale, avec force constante. Ce garde-temps, qui est né de la collaboration entre l’horloger et le boxeur, réunit leurs passions communes et sera disponible sur les marchés dès Septembre.

Une rencontre sur le ring

Los Angeles, 12 avril 2019 : Vasyl Lomachenko, surnommé le "Picasso" de la boxe mondiale signe encore un chef d'oeuvre. Opposé à l'Anglais Anthony Crolla, Vasyl Lomachenko conserve ses ceintures WBA et WBO des poids légers en battant son adversaire par un spectaculaire KO au 4e round. Le boxeur ukrainien a déjà à son palmarès le titre de Champion d’Europe de boxe à Liverpool (2008) dans la catégorie poids plumes, le titre de double champion olympique à Pékin (2008) dans la catégorie poids plumes et à Londres (2012) dans la catégorie poids légers, ainsi que trois titres mondiaux en seulement douze combats pros : à Chicago (2007) et à Milan (2009) dans la catégorie poids plumes et à Bakou (2011) dans la catégorie poids légers.
 

C’est ce même jour que Christophe Claret rencontre Vasyl Lomachenko par l’intermédiaire de Saïd Taghmaoui, célèbre acteur franco-américain révélé par le film La Haine en 1996 et Ambassadeur de la marque Christophe Claret depuis janvier 2019. De cette entrevue est né le garde-temps Loma : les échanges d’idées esthétiques et techniques entre ces deux hommes passionnés par leur domaine réciproque ont permis de mener à bien la réalisation de cette pièce.

Un hommage au champion de boxe ukrainien

Cette alliance entre Christophe Claret et « Loma » n’est pas le fruit du hasard. En 2013 déjà, Christophe Claret s’inspire de l’univers de la boxe et part d’un constat simple : au cours d’un match de boxe, au gong reconnaissable entre tous, les boxeurs se font face sur le ring, le combat se divise en rounds, intervalles de temps séparés par une minute de repos annoncée par la cloche… Quoi de plus naturel donc, que de marquer le départ d’un chronomètre par un son ? C’est ainsi qu’il créé le modèle Kantharos, chronographe mono-poussoir à sonnerie sur timbre cathédrale avec force constante, doté d’un système de sonnerie ingénieux qui se déclenche à chaque mode (start, stop, reset). Ce même modèle dont s’est inspiré Christophe Claret pour réaliser la montre Loma.
 

La Loma ne laisse rien au hasard. Son cadran bleu à strates joue magistralement sur les effets de profondeur, accentuant le champ visuel, happant la lumière. Conçu comme un ring où les acteurs rivalisent de savoir-faire, il est survolé par la trotteuse centrale, les aiguilles des heures et minutes en PVD noir et saphir, laquées en Super-Luminova jaune et blanc. Cernée par les compteurs chronographe, la force constante est à fleur de cadran, une gageure de construction en soi. Les compteurs, avec au centre les décalques des deux médailles olympiques, ajoutent à leur caractère trempé un système original d’affichage sur disques. Le disque supérieur, fixe, en saphir, porte les chiffres; le disque inférieur, mobile, métallisé noir et en Super-Luminova jaune, comporte un indicateur. Un rehaut gradué vient les border et apporter du relief à l’affichage. Assurément tout rappelle l’univers de la boxe et son champion ukrainien: en témoignent le choix des couleurs, principalement bleu et jaune telles le drapeau ukrainien, l’inscription laquée jaune « Loma » sur le bracelet en alligator bleu, les décalques des ceintures sur le fermoir ainsi que l’inscription « Round » gravée, en Super-Luminova jaune, sur le poussoir à 2

Un round très technique

Cette création de Christophe Claret porte en elle le savoir-faire de la Haute Horlogerie et la précision de la haute technologie. Ce chronographe mono-poussoir à sonnerie et force constante impose ses codes et réinvente la mesure des temps courts.

La marque Christophe Claret s’est déjà maintes fois illustrée par ses dispositifs à sonnerie innovants. Nec plus ultra de la sonnerie, le timbre cathédrale visible à 10h, gravé d’un marteau de gong, est doté d’un système breveté qui évite au timbre de s’entrechoquer avec la boîte. Le chronographe fait preuve d’une fiabilité et d’une performance hors pair. Son système d’embrayage à double flasques permet d’éviter le saut de l’aiguille au démarrage du chronographe et ainsi d’augmenter la précision de la mesure. Utile, fonctionnel, le dispositif, également ludique, joue sur l’interactivité sensorielle – manuelle et acoustique – entre l’instrument et son détenteur.
 

Outre cette complication innovante, la Loma s’offre une force constante, clin d’œil au champion de boxe, qui fait preuve d’une force constante et impressionnante lors de ses combats. Pièce maîtresse, elle trône majestueusement côté cadran, à 6h. Ce savant mécanisme permet de diminuer sensiblement les écarts de marche de la montre. En effet, l’énergie délivrée à l’échappement est constant du début jusqu’à la fin de la réserve de marche. La précision est de mise. Hypnotique, en continuel mouvement, le mécanisme s’admire sous un pont saphir minutieusement anglé qui ne cache rien du savoir-faire du maître horloger.

Logé dans un boîtier de 45 mm de diamètre, le mouvement mécanique à remontage automatique a été conçu, développé et assemblé au sein de la manufacture. Extrêmement complexe, il n’est pas monté par couches, comme c’est souvent le cas, mais totalement intégré et unifié, gagnant ainsi en finesse, en performance et en cohérence technique et esthétique. Sa conception relève de la prouesse. Le rotor, façonné en platine, peut se targuer d’une meilleure inertie. La réserve de marche s’étend à 40 heures.
 

Visible par le fond saphir et doté de 75 pierres, un nombre qui symbolise à lui seul la complexité du mécanisme, le calibre ne cache rien du raffinement de ses finitions. Parmi ses 570 composants, le ressort à col de cygne et la masse oscillante notamment arborent des terminaisons réalisées à la main dans les règles de l’art de la Haute Horlogerie. Tels ces angles rentrants, extrêmement difficiles à maîtriser. La précision esthétique touche la moindre pièce. Et le dispute à la performance technique. Ce nouveau round qui rapproche la Haute Horlogerie et la boxe promet d’en mettre KO plus d’un !