Jaeger LeCoultre Geophysic Universal Time

Jaeger-LeCoultre Géophysic Universal Time: l’universel selon Mercator

A sa façon, la Geophysic Universal Time de Jaeger-LeCoultre, par son originale approche de la mécanique est une invitation au dépaysement sous toutes ses formes.

Par Vincent Daveau
Contributeur

Certains instruments de mesure du temps à porter au poignet ont la faculté d’inviter au voyage. Dans le cas de la montre Géophysic® Universal Time, la manufacture Jaeger-LeCoultre a su trouver un juste compromis entre onirisme et fonctionnalité aboutie pour garantir à ceux ayant fait le choix de ce modèle de ne jamais regretter d’avoir le monde à portée de la main tout en ayant la conviction d’avoir un vrai gestionnaire de temps mécanique au poignet, lors de leurs déplacements à l’étranger.

Jaeger Lecoultre Geophysic Universal Time Jaeger Lecoultre Geophysic Universal Time

Belle avant toute chose

On aura beau dire, une montre est avant tout le premier bijou de l’homme. Voilà pourquoi un amateur est toujours pleinement satisfait lorsqu’il est certain que son choix a un vrai impact sur les observateurs. Avec la montre Geophysic® Universal Time, le résultat est garanti car la pièce de 41,6 mm de diamètre, disponible en acier ou en or rose 18 carats, possède plusieurs arguments plaidant en sa faveur au moment de faire le choix de la faire sienne. Ainsi, les proportions de sa carrure sont pratiquement canoniques et permettent à la pièce de tout juste 11,84 mm d’épaisseur de tomber parfaitement sur le poignet d’un homme dont la taille est comprise entre un mètre soixante dix et un mètre quatre-vingt cinq. Pareillement, sa finesse -sans être extrême- autorise de fermer le bouton du poignet de la manche de sa chemise tout en laissant la montre libre d’être découverte d’un doigt afin de pouvoir lire l’heure au cadran en toute discrétion.

Jaeger Lecoultre Geophysic Universal Time Le calibre JLC 772 de la Jaeger Lecoultre Geophysic Universal Time

Oser la complexité avec simplicité

Cette pièce au graphisme impactant emporte une fonctionnalité complexe, mais facile d’emploi et se trouve être animée par un calibre mécanique à remontage automatique dont l’apparente sobriété ne dit rien de sa complexité. On l’aura compris, la Géophysic® Universal Time entretient les paradoxes dans tous les domaines, mais pour mieux se rendre désirable. Ainsi, un amateur non averti pourrait croire au premier regard cette montre animée par un calibre à quartz puisque la trotteuse fait des sauts de seconde en seconde. En réalité, le calibre mécanique à remontage automatique référencé JLC 772 doté d’un nouveau type de balancier dérivé de celui mis au point pour la Master Compressor Extreme Lab 1 (Gyrolab) et développé et produit au sein des ateliers de la manufacture, est construit de façon à permettre à la trotteuse de seconde de sauter d’un index à l’autre. Le nom savant de cette fonctionnalité permettant à l’origine de faciliter la lecture précise des temps courts est « Seconde Morte ». Elle est ici associée à une complication d’heure universelle que l’on sait appréciée des globe-trotters. Mais pour répondre à ce besoin de rationaliser la fonctionnalité, le mode de fonctionnement de cet affichage a été simplifié pour le rendre aisé à mettre en œuvre.

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Une fonctionnalité éprouvée

Les amateurs débutants apprécieront donc ce choix fait par la manufacture d’aller vers plus de simplicité car, une fois réglé l’affichage de l’heure de référence, le porteur de la montre sait à tout instant l’heure qu’il est dans tous les autres fuseaux du monde grâce à la bague rotative qui porte les chiffres de 1 à 24 répartis en zones diurne et nocturne (la coloration de la bague changeant pour les différencier). On notera que le propriétaire de la pièce aura soin de vérifier que le chiffre se trouvant en face de la ville correspondant au fuseau dans lequel il se trouve correspond à l’heure effective (s’il est 18 heures, le chiffre en face de Paris qui est aussi celui de Genève devra être le 18 et non le 6).

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On notera qu’une partie des villes portent un index en forme d’étoile permettant de placer l’heure du fuseau en tenant compte de l’heure d’été des pays ayant conservé cette pratique née durant la première crise du pétrole pour faire des économies d’énergie. Les puristes habitués à manipuler les montres à Heures Universelles traditionnelles noteront que le disque des villes est ici fixe alors qu’il est habituellement mobile. De fait,  pour avoir l’heure du fuseau dans lequel le porteur se rend, il suffit de tirer la couronne sur le cran approprié et de faire sauter l’aiguille des heures jusqu’à faire s’afficher l’heure officielle apparaissant sur l’anneau en face de la ville de référence. Difficile de faire plus simple!

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On retiendra pour conclure que cette montre très équilibrée se porte dans les deux versions sur un bracelet en alligator fermé pour la version en or rose à l’aide d’un fermoir à boucle ardillon et pour la version en acier grâce à une boucle déployante.

 

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